Millau

28 février 2020

Millau 2020 « Je sais ce que cela veut dire de combattre »

  MILLAU 2020   Fin d’après midi, une pelouse détrempée, des gamins, des gamines, cheveux plaqués, en frocs mouillés…rencontre furtive avec David Douillet, le temps d’une passe, de faire face, pour faire face, le temps de dire «quelque soit votre avenir dans le sport, ce que vous faites là, aujourd’hui, c’est pour votre vie». Une rive à enjamber, se garer dans un parking détrempé, des gamins, des gamines, pas encore gantés, dans des frocs larges comme des citrouilles. Les bonnes bouilles écoutent le grand David, sur le tapis, pieds nus, à mains nus «là, je me sens bien parce que je sais ce que cela veut dire de combattre». La nuit tombe, un boulevard à remonter, vite fait, le temps presse, des présidents de clubs, des toubibs, des éducs, des judokas, salle Capelle presque pleine, questions réponses, discours brossé à la pierre ponce «un élu qui mise sur la jeunesse, c’est un élu qui a compris où sont les priorités».     Photographies réalisées le 27 février à Millau dans le cadre de la campagne électorale pour les Municipales 2020 menée par Jérôme Rouve en compagnie de l’ancien judoka David Douillet, double champion olympique.
27 février 2020

Millau 2020 « Nous avons même notre propre réseau internet »

  MILLAU 2020   Fin de soirée, un boulevard éclairé, des immeubles dans la pénombre, dans le froid, une rencontre en bon nombre. Du jus de fruit, de la fouace, des riverains, il faut faire face. On parle d’un quotidien à huiler, à balayer, à apaiser. Rien de méchant, juste des grincements. Fin de soirée, une ancienne école éclairée, le causse dans la pénombre, dans le chaud, une rencontre en plus grand nombre. Du vin chaud, des thermos, des paysans, des paysannes, la lutte toujours en chicane «on nous en veut encore d’avoir gagné le Larzac». Sans tract, petite leçon d’histoire et d’avenir, une assemblée à l’écoute,  du mordant coûte que coûte, les anciens dans le savoir « nous avons même notre propre réseau internet. J’en suis fier ».   Photographies réalisées les 24 et 26 février à Millau (quartier Malhourtet et ancienne école du Larzac) dans le cadre de la campagne électorale menée par Emmanuelle Gazel pour les Municipales 2020.  
22 février 2020

Millau 2020, au pied du Beffroi, une campagne à chaud, à froid

  MILLAU 2020   Place du marché, place de la cité. Le vendredi, jour des huîtres et des endives, jour de l’offensive. Cœur des Halles, ça parle hôpital, positions radicales, visions verticales. Des mots en rafales, convaincre, laisser son empreinte, des programmes en cœur d’artichaut, cœur dur, cœur tendre, résolutions à vendre. Effluves de paella, au pied du Beffroi, une campagne à chaud, à froid.     Photographies réalisées dans le cadre de la campagne pour les Elections Municipales 2020, le vendredi 21 février, jour de marché à Millau.
22 février 2020

Millau 2020, élection en eaux profondes, l’hôpital en sauvetage

  MILLAU 2020   Nuit bleue sur l’ancienne école de Massebiau. Un ciel en filature d’un orange jeté en pâture. Philippe Ramondenc et sa garde rouge sur la ligne bleue. Des coups de canifs, des éraflures ici et là, des murmures, il rassure. Ecoute attentive, riverains sur un banc, en rang, dans l’échange, surtout ne pas donner le change. L’hôpital médian, sujet central, les voies cyclables, sujet capital pour combattre ces chauffards qui roulent comme des balles. Les petits trafics de shit sur la plage, au bord de la Dourbie, un sujet qui n’est pas à l’étiage. L’éducation, sujet fondamental pioché dans un programme déplié en éventail.     Photographies réalisées à Massebiau – Millau, le jeudi 20 février 2020 dans le cadre des Elections Municipales
22 février 2020

Millau 2020 : nous, vous, ils, elles participent…

  MILLAU 2020   Je participe, tu participes…il, elle, nous, vous, ils, elles participent…pour le présent, pour le futur. Salle du Créa pour un présent et futur en créa, petite leçon de démocratie participative conduite par Emmanuelle Gazel et Philippe Martin ancien ministre de l’écologie pour sympathisants, militants de la table ronde. Cercle de réflexion, cercle de connexion, des idées en intersection, mises en corrélation. Le but, créer un élan citoyen, capter ces 25 – 35 ans lassés de la vieille politique, déjà dans l’abstention, en désillusion et tenter par l’extrême droite. En exemple, le Gers premier département à mettre en place un budget participatif, 35 000 votants soit un tiers du corps électoral local et 100 projets financés.     Photographies réalisées à Millau – Chapelle du Créa dans le cadre de la campagne pour les Elections Municipales 2020